Avenir Climat - archives

Un projet de voyage d'un an entre l'Europe et l'Asie. A la découverte des pays et des ses habitants. Pour comprendre le changement climatique. Pour faire connaitre les solutions d'adaptations. Le climat concerne chacun d'entre nous, ensemble nous pouvons agir.

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Lundi, 8 octobre 2007

Ils me soutiennent : Journal de Saône-et-Loire.

Présentation part la CLEMI de Dijon

Le 2 juillet 1826 paraît à Mâcon, à l'initiative de personnalités et d'industriels locaux, Le Journal de Saône-et-Loire ; un journal porté sur les fonts baptismaux par, entre autres, le grand homme Lamartine. Un journal dont le but et la raison d'être sont simples et ambitieux et rappelés avec clarté en première page : “Nous nous attacherons spécialement à présenter à nos lecteurs les événements locaux, des opérations relatives à notre commerce et à l'agriculture surtout, qui fait toute notre richesse (...) Tel est le plan de notre journal : être utile à nos concitoyens, satisfaire à la fois le goût et la curiosité du lecteur”.

logo JSL

Ce Journal de Saône-et-Loire a connu bien des vicissitudes : hebdomadaire, puis bihebdomadaire, il est repris par un “plus jeune que lui”, Le Courrier de Saône-et-Loire (1832/1840) et devient Le Courrier, Le Journal de Saône-et-Loire. Fort de cette histoire, Le Journal de Saône-et-Loire peut légitimement revendiquer le titre de doyen actuel des quotidiens français.

Le 11 mars 1991, Le Journal de Saône-et-Loire est présent dans tous les kiosques du département. Ce “nouveau” titre affirme en sous-manchette sa filiation et reprend les titres prestigieux et plus anciens que sont Le Courrier de Saône-et-Loire et Le Progrès.

Le Journal de Saône-et-Loire est aujourd'hui le plus important journal de Bourgogne : 72 000 exemplaires imprimés chaque jour, plus de 200 000 lecteurs quotidiens. C'est aussi une PME performante : 303 personnes, dont 61 journalistes, 300 correspondants et informateurs, 33,5 M€ de CA ; plus de 70 pages sont réalisées chaque jour tous les jours de l'année! éclatées en 7 éditions calquées sur nos Pays de Saône-et-Loire.

Présentation d'après le groupe EBRA :

Suite au rachat du pôle Rhône-Alpes de la Socpresse, la société par actions simplifiée Ebra (Est, Bourgogne, Rhône-Alpes) a été créée en février 2006. Elle est détenue à 51% par le groupe Est Républicain (également appelé France Est Médias) et à 49% par le Crédit Mutuel.
De la Moselle au Rhône et du Rhin à la Durance, de la Belgique à l 'Allemagne, la Suisse et l 'Italie, le Groupe EBRA est le premier groupe de presse quotidienne régionale de France. Avec chaque jour près de 1,1 millions d 'exemplaires vendus sur 23 départements, 101 éditions et une audience de près de 3,5 millions de lecteurs.
Le groupe EBRA est maintenant propriétaire du Journal de Saône-et-Loire

Le courrier de soutien de Michel MEKKI, rédacteur en chef, est disponible ici. (PDF, 17 Ko).

Son soutien :

  • Diffusion d'un carnet de routes de 1500 caractères + 1 photo + 1 "conseil de la semaine" tous les dimanches en 2008 dans son édition départementale.
  • Diffusion des informations plus précises dans la partie "Autun" de son édition.



Contact : Le journal de Saône-et-Loire.
9, rue des Tonneliers 71100 CHALON-SUR-SAÔNE.
Tél. 03 85 90 68 00. Fax 03 85 93 02 96.
Mail : infos@lejsl.fr. Web : http://www.lejsl.com/

mercredi, 29 août 2007

Rendez vous avec Michel MEKKI, du Journal de Saône et Loire.

J'avais rendez-vous ce matin à 11 h avec le rédacteur en chef du Journal de Saône et Loire, Michel MEKKI. Je lui est présenté mon projet de voyage et de recueil de bonne pratiques de luttes contre le changement climatique.

Il est intéressé par le projet, normal vu qu'il ma donné un rendez-vous (merci à éric et pascal)... Il me propose un article hebdomadaire pour présenter mon carnet de route, dans l'édition du Dimanche du JSL : 1 500 caractères, 2 colonnes sur une page, avec 1 photo et un encart genre "conseil du jour" pour aider les lecteurs à diminuer leur émissions de gaz à effet de serre.

Avant de finaliser tout ça, je doit lui envoyer un article-type. Je pense utiliser comme base ma visite au Pius Home Orphenage, un orphelinat que j'ai visité lors de mon premier passage en Inde. L'orphelinat produisait du méthane issus de la fermentation des bouses de leurs 2 vaches. Ce bio-gaz était utilisé pour la cuisine des repas : 80 "couverts par service". Voir les photos ci-dessous.

Il me reste aussi à négocier la contre-parti : fourniture de matériel et paye des piges. Le budget 2008 du Journal n'est pas fait, il est encore temps de négocier. Par contre il n'y a pas d'échanges formalisés pour du rédactionnel entre les différentes publications du groupe EBRA. Il faudrait que je les contacte toutes directement... Je vais attendre d'être à Strasbourg les 17 et 18 novembre pour tenter de voir du monde à la maison mère, autour de l'Est Républicain.

vaches
Les vaches produisent un peu de lait et des bouses.

Méthanisation
Le lisier est collecté dans des bacs en ciment, puis on ajoute de l'eau. Le tout part dans une citerne étanche ou la méthanisation se fait.

Cuisine
Dans la cuisine, la méthane est brulé. Il permet d'économiser du bois.

Cantines
Environ 80 repas sont servis à chaque services.

Les photos ont été scanné en 2004 pour une présentation à LACIM-Creusot, qui finance en parti l'orphelinat. La qualité est donc mauvaise, mais ça vous donne une idée.

Lundi, 16 juillet 2007

QUI SUIS JE ?


Les billets pour mieux me connaitre.

Voir aussi : Soutien, Revue de presse, Climat, LE PROJET

Benoît Kubiak christophe et moi juin 2007 Forum Social Mondial 2004 Bombay Atelier déchet février 2007 photo



Voir aussi les billets tagués "moi" ou "pro" pour mon activité professionnel.

Contact : Association Avenir Climat. c/o M. KUBIAK. Le bourg. 71400 AUXY. FRANCE.
Téléphone pour 2007 : 0033 (0)3 85 52 54 29. Mail : benATavenirclimat.info
Skype, Gtalk, Yahoo et MSN : benkamorvan. J'utilise Pidgin.

samedi, 9 juin 2007

Un voyage pour lutter contre le changement climatique ? Pourquoi ?

Au-delà du plaisir de voyager pour se découvrir et rencontrer l'Autre, je souhaite que mon voyage soit utile et participe (à son échelle) à la lutte contre le changement climatique.

Les images sont issues de ce site : http://www.theyliewedie.org/

Au préalable : un voyage sans avion.


L'exemplarité est la première méthode pour faire passer un message. "Faites ce que je dis, pas ce que je fais" est la pire des solutions. Bien sûr je pourrais partir à pied, ou à la limite à vélo, ça serait la solution la plus "décroissante". Mais je n'ai qu'un an pour réaliser mon voyage, et je souhaite parcourir plusieurs pays tout en ayant une série de rendez-vous. Je n'ai pas l'habitude de faire du vélo, et encore moins sur de grandes distances. Ces deux conditions à mon avis sont suffisantes pour préférez les transports en commun.

J'utiliserai donc les trains, les bus, les taxis, le stop, les moto, scooter, rickshaw, etc. Leurs émissions de gaz à effet de serre sont bien inférieures à celle de l'avion, même si les problèmes de pollution sont bien réels.

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1. Diffuser une information sur le changement climatique.


Je souhaite créer des partenariats avec des médias afin de diffuser régulièrement de l'information sur mon voyage. Mes premiers contacts sont : France Culture (groupe Radio France), le Journal de Saône et Loire (groupe EBRA), le Courrier de la baleine (les Amis de la Terre), le Maires de France (Association des Maires de France). Mon blog est aussi de la partie. J'ai donc en théorie la possibilité de diffuser de l'information sous formes sonores, écrites et visuelles (photographies), à la radio, dans la presse écrite, et sur le net.

Je souhaite que mon voyage attire le public tout d'abord sur une note exotique, avec un voyageur parcourant l'Europe et l'Asie pendant un an, pour ensuite leur faire entendre un message sur l'urgence d'agir contre le changement climatique.

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J'espère que je pourrai tenir une chronique régulière dans ces média pour "fidéliser" une partie de leur audience, et développer au fur et à mesure une prise de conscience sur l'impact du changement climatique dans le monde. Ce bouleversement est l'un des principaux enjeux pour notre planète dans les 10 prochaines années, et chacun peut y jouer un rôle : c'est plutôt motivant non ?

2. Présenter des exemples de réussites de lutte contre le changement climatique.


Une fois le premier niveau d'information diffusé : "le climat change", je veux présenter des exemples de luttes contre le changement climatique. Les solutions sont nombreuses, et les exemples aussi. Que ce soit dans les domaines de l'urbanisme, de l'habitat, de l'agriculture, de la sylviculture, de la production d'énergie, des transports, il y a une foule d'initiatives qui méritent d'être connues.

Chacun peut jouer son rôle : particulier, autorité locale, entreprises, associations... Dans son domaine de compétence, à la maison ou dans son activité, les opportunités d'agir son constamment présentes. En parcourant pendant un an plus d'une dizaine de pays, je souhaite montrer cette diversité et identifier les facteurs de réussites.

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Je pense qu'au delà de la diversité culturelle, face à un enjeu mondial, il y a des éléments communs qui peuvent être identifiés. Des actions entreprises à l'autre bout du monde peuvent servir de base à des actions en France.

En outre, je souhaite présenter avant ou après mon voyage un diaporama dans les locaux de mes partenaires. Directement en contact avec eux, il est plus facile d'expliquer ma démarche et mon voyage à l'ensemble de leurs employés. J'espère que ce sera aussi un moment pour eux pour présenter leurs propres actions afin de réduire leurs émission de gaz à effet de serre.

3. Initier des actions locales pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.


En faisant témoigner directement les auteurs de ces initiatives, je souhaite créer un lien de proximité avec mon public pour qu'il est un sentiment d'identification : même métier, même structures, même problématique... Si une personne en France arrive à s'identifier à un des témoins du climat, il pourra plus facilement décider d'agir. C'est le troisième niveau d'engagement.

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Décider de diminuer l'utilisation de produits pétrolier dans une production agricole, construire des bâtiments bien isolés, développer les installations d'énergies renouvelables, planifier l'aménagement d'une ville en limitant son extension, organiser des moyens de transports alternatifs à la voiture individuelle... Tous ces exemples sont universels.

Le fait de savoir qu'ailleurs dans le monde, ces actions ont déjà été entreprises avec succès permet de s'affranchir de la réflexion "je suis le seul à le faire, ça ne sert à rien". Il y a un sentiment d'appartenance à un ensemble d'acteurs qui agissent ensemble pour diminuer globalement les émissions de gaz à effet de serre.

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Le relais avec mes partenaires futurs (j'espère : Réseau Action Climat, Association des Maires de France, Energie Cités, Région Bourgogne, Parc Naturel Régional du Morvan, association 4D, Ministère de l'écologie...) sera aussi un élément d'un travail en réseau, d'une entraide, de conseils, qui sont des facteurs de réussites pour des projets locaux. Mon projet est complémentaire a leurs activités.

4. Eduquer au développement durable.



Les enfants vivront dans un monde complètement différents du notre. Nous avons consommé et gaspillé les ressources naturelles comme si elles étaient gratuites et infinies. Ils devront payer les ressources restantes à leur juste prix et gérer le dérèglement climatique : bon courage.

L'éducation nationale facilite de plus en plus l'intégration de l'éducation au développement durable dans les projets éducatifs (BO 5 avril 2007). Les collectivités locales créent des programmes d'aides (programme Ecosffere d'Alterre Bourgogne, ou les agenda 21 pour les lycées avec la région Bourgogne) et font le lien entre associations et enseignants (programme d'EDD de l'agglomération dijonaise).

Je souhaite participer à ces projets et bénéficier du contact et du regard des enfants sur le changement climatique.

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